Ma Caroline
Publié le 4 Juin 2015
où il apparaît que je n'ai mis ni ma robe blanche, ni mes p'tits souliers vernis....
Un patron gratuit, surtout de la République du chiffon, clic, ça ne se refuse pas, ça se tente.
Surtout quand on a un grand coupon trouvé chez Tissus choc à Alès, dont le motif offre un compromis intéressant entre l'écossais de Burberry et l'imprimé léopard, le tout en mode camouflage, tout ce que j'aime.
Pour égayer un peu tout ce gris, j'ai ajouté des boutons rouges (puces d'Alès) qui m'évoquent les coquelicots chers à Kenzo, des doubles surpiqûres rouges et des sandales rouges en attendant que je trouve des tongs assorties.
Contrairement à ce qu'il semble sur la photo, les lignes se raccordent PARFAITEMENT !
Je n'ai pas avec moi les notes que j'ai prises au cours de la réalisation de cette robe, mais j'en ai un bon souvenir.
C'était la première fois que j'utilisais un patron téléchargé, pas de problème particulier une fois l'imprimante réglée sur le bon rapport. Le découpage des feuilles, le collage, le redécoupage, cela prend un certain temps et demande de la minutie, mais c'est loin d'être aussi compliqué que le décalquage d'un patron Burda.
Les explications sont assez claires, mais pas complètes: toutes les finitions ne sont pas comprises, grrrrrrrrrrrrr !
En me fiant aux mensurations indiquées, j'ai réalisé une taille 40, c'est vaste... je me demande même si je ne vais pas tenter quelques pinces pour cintrer un peu le corsage de la robe.
Ici, les boutons cachent des pressions, mais en fait il est inutile de les ouvrir pour enfiler ou retirer la robe: les paresseuses s'abstiendront donc.
Mama mia ! la robe est transparente, il va falloir que je me méfie.
En même temps, le soleil est si rare ici...
Et pour la chanson, c'est là, clic, ne résistez pas à la video...