Publié le 26 Novembre 2017
où il apparaît un grand soleil....
En route pour une découverte du port de Melbourne, sous le soleil aujourd'hui, nous croisons une des nombreuses sculptures qui ornent la ville.
Ai-je l'air aussi crétin que ce lapin ?
Encore beaucoup d'immeubles très colorés, les décorations de Noël qui abondent rehaussent l'effet.
Nous voici sur le port.
Il a été ré-aménagé depuis peu (refurbished en anglais, ce mot m'amuse beaucoup !), je pense que ces poteaux sont eux un vestige du passé.
Encore Noël, il y a beaucoup, beaucoup plus de décorations qu'en France, et là, nous ne sommes qu'à la mi novembre...
Sculpture ou mobilier urbain ?
Ca, c'est une sculpture ! Même l'arbre...
La coupe du monde de jeu à treize se déroule en ce moment en Australie.
Encore une sculpture, celle-ci est intitulée "Silence", je le garderai en effet...
Un tramway ancien nous offre un tour gratuit du centre ville, empruntons-le pour gagner la National Gallery of Victoria.
Nous avions compris que le Ian Potter center exposait de l'art aborigène, mais en fait il s'agit d'art contemporain réalisé par des Aborigènes. Tant pis, visitons tout de même.
Tout d'abord, de grandes réalisations en papier alvéolé, comme ces jeux chinois qui nous amusaient, enfants (je sais, ça marque son âge !).
Une immense photo attire mon attention :
Du tricot, des poupées ? Tout moi, ça...
Des robes aborigènes, de 1920 à aujourd'hui.
Desigual n'a rien inventé !
Je m'amuse bien avec cette sculpture, mon top vintage Modes & Travaux version tissu chinois est mis en valeur. Il faudra que je pense à vous le présenter plus sérieusement bientôt.
Rentrons maintenant, entre les bâtiments ultra-modernes et les plus anciens.
J'ai appris en Australie à respecter les passages cloutés et les feux rouges. Bien obligée... entre la réprobation des autres piétons et la peur du gendarme qui offre le "traverseur" téméraire à la vindicte de ces concitoyens.
Disciplinée, mais râleuse : on passe presque autant de temps à marcher dans les rues qu'à attendre aux feux rouges. Et après plus de deux semaines, je sursaute encore quand le signal sonore qui annonce le feu vert pour les piétons retentit ! Et pourtant, je le guette, ce fichu signal, je le souhaite, je l'espère, je m'en languis...
Je traverse donc, on the road again !