Publié le 7 Septembre 2024
où il apparaît un nouvel upcycling et un souvenir de chanson qui colle encore au coeur et au corps....
Impossible pour moi d'entendre les mots "jupe plissée" sans y ajouter in petto "queue de cheval à la sortie du lycée".
J'ai porté beaucoup de jupes plissées à l'école et au lycée mais, à part les kilts, j'en garde un horrible souvenir : tergal gris, voire bretelles, mieux vaut oublier.
J'imagine que c'est un progrès technique qui a permis aux jupes plissées d'aujourd'hui de gagner en légèreté, en couleurs, en charme et en élégance.
Pour celle-ci :
je suis partie d'une fripe à 1euro achetée sur le vide-greniers de Notre-Dame des clés, à Alès.
Je n'ai pas pris de photo de la robe de départ (promis, maintenant je le ferai), je vais essayer de vous exposer l'étendue du désastre : une robe longue, très longue, avec un haut.... disons compliqué pour faire simple, forme porte-feuille, avec un drapé en satin noir brillant rajouté sur l'imprimé, un énorme nœud de ruban, et, cerise derrière le gâteau, un dos façon corset en fronces élastiques, rien à sauver.
Je n'ai donc conservé que la partie imprimée de la jupe, et sa doublure, que j'ai cousues sur un élastique large, simple, basique, efficace.
Ici, la jupe plissée fait équipe avec un top Maud en broderie anglaise (enfin, presque, c'est du jersey brodé) mais je viens de lui trouver un nouveau partenaire qui lui permettra de passer l'automne en beauté.
Petit rappel : le top Maud est en fait le haut de la robe Maud de la Maison Victor.