mes petites bouffes

Publié le 12 Juillet 2010

La première, le foot c'est fini !

 

La deuxième, c'est qu'on peut réaliser des citrons confits (ma recette ici) avec des citrons verts.

 

Quelques photos demain (à propos des citrons verts confits, les photos, pas à propos du foot, rassurez-vous).

 

A demain donc.

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Publié le 20 Janvier 2010

Pas de tricot à montrer en ce moment, entre les projets reportés par manque de matière première et l'éloignement momentané du stock (qui a dit "tant mieux, pendant ce temps là, il ne grossit pas" ?).
Pas de trouvailles aux puces à exhiber fièrement, je n'ai pas traîné mes guêtres sur un vide-greniers depuis l'année dernière et le prochain est encore loin, plaignez moi !
Une petite recette en attendant, ça vous dit ?
Si j'étais snob, je vous parlerais de rattes, mais je me contente de grenailles.
Encore que... quand je trouve des vitelottes, je craque, et pourtant je ne suis pas une acharnée de la couleur, vous l'aurez remarqué.

Bon, commençons par la liste des courses.

les-courses.JPG
On oublie le potiron (qui se transformera bientôt en carrosse ?) et le café qui squattent sur la photo, on se concentre sur les grenailles, les olives noires à la grecque et le poireau.
Il faut aussi de l'huile d'olive, du vin blanc, de l'ail semoule et du poivre, mais ça, pas besoin de faire les courses, ça vit dans le placard.
Il m'est difficile de vous donner des quantités précises : tout dépend de la taille des grenailles, l'important est qu'elles aient à peu près le même volume pour cuire à la même vitesse.
A titre indicatif, je compte une dizaine de grenailles de taille moyenne par personne, un petit poireau pour deux, une poignée d'olives noires.
Pour l'huile et le vin blanc, il en faut suffisamment pour que les grenailles soient à moitié immergées.
On lave le poireau et on le taille en fine julienne, ou l'inverse, on taille et on lave.

poireau.JPG
On le fait fondre doucement.

poireau-fondu.JPG

Pendant ce temps là, on lave les grenailles, on les pose dans une sauteuse, on les arrose de moitié huile d'olive, moitié vin blanc, on couvre, on fait cuire pas trop vite.

grenailles.JPG
Pendant que les grenailles cuisent, on dénoyaute les olives et on les coupe en petits morceaux.

olives.JPG

On vérifie la cuisson des grenailles en les piquant avec un petit couteau.

photos8-1044.JPG

On rassemble alors dans la sauteuse la fondue de poireau, les olives, on poivre (pas besoin de sel, les olives en apportent bien assez) et on aille, aïe, aïe, aïe !
Les habituées connaissent mon manque de modération en ce domaine.

ail.JPG

Un petit coup de cuillère en bois pour mélanger, un dernier petit coup sur le feu pour réchauffer, et on sert.
Et... on ne fait pas comme moi qui ai oublié la photo de l'assiette dressée !

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Publié le 15 Janvier 2010

Que faire quand on est bloqué à l'intérieur par le froid, la neige, l'hiver....

Des citrons confits, puisque j'arrive au bout de ma réserve.

Rien de plus simple, tout est sur la photo, les citrons, les bocaux, le gros sel.

 

 

citronsdefinitifs.JPG

Il ne manque que de l'eau bouillie/refroidie, c'est le seul geste technique de cette recette, mettre en route la bouilloire.

1- Verser une couche de gros sel au fond d'un bocal.

2- Tasser des quartiers de citrons dans le bocal, en n'ayant pas peur de bien appuyer, j'arrive à mettre deux gros citrons dans un bocal, en ajoutant entre les quartiers et au-dessus du gros sel.

3- Complèter avec l'eau bouillie/refroidie, en plusieurs fois, le sel va fondre, des bulles d'air vont remonter, il faut que les quartiers de citrons soient recouverts.

4- Fermer les bocaux, les oublier pendant un mois à l'abri de la lumière.

 

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Publié le 30 Décembre 2009

Plus rapide à réaliser qu'une fiche-tricot, une fiche-recette pour finir l'année.

D'abord, la liste des courses, encore que pour les poires, je ne saurais trop vous dire où vous fournir.
Les miennes viennent directement de Belgique, merci Marguerite.

1 kilo de poires épluchées, les laisser entières avec la queue.


1.JPG
2.JPG

333 grammes de sucre cristallisé (en fait, la recette d'origine est pour 3 kilos, j'avais un kilo de poires, je me suis creusée les méninges pour la division, ce qui explique la précision du poids du sucre).

3.JPG

20 centilitres de vinaigre de vin

4.JPG
Pas forcément maison le vinaigre, mais si on peut, c'est meilleur.

1 bâton de canelle (ou15 grammes de poudre)
 2 clous de girofle.

Maintenant, la marche à suivre.
Les poires sont rangées dans une cocotte, on verse dessus le sucre et le vinaigre, on ajoute les épices.
Faire bouillir 3 heures à feu modéré, une heure et demie avec couvercle, une heure et demie sans couvercle.


5.JPG

Retirer les poires, les ranger dans un bocal.

6.JPG

Laisser réduire le jus jusqu'à consistance de sirop (perlé pour les puristes).

7.JPG
Y ajouter le jus sorti des poires du bocal et recuire un peu.
Verser sur les poires.
Boucher à froid le lendemain.

Oublier dans un placard jusqu'à Noël, par exemple, pour accompagner le foie gras maison : sur une petite assiette, un peu de mesclun, une demi tranche de pain de campagne maison, un triangle de tranche de pain d'épices (pas maison, j'ai eu l'idée trop tard) toasté, une tranche de foie gras maison, une poire de grise au vinaigre, on arrose d'un filet de jus, un tour de moulin à poivres (mélange de poivre blanc, vert et baies roses), quelques grains de gros sel (même pas de Guérande, je ne suis pas assez snob pour ça) et on se régale. Surtout  s'y on a pris soin d'ouvrir une bouteille de vin liquoreux, un sauternes, par exemple.
Je n'ai pas eu non plus le temps de faire la photo, désolée, mais je pense pouvoir me rattraper demain, je vais servir les mêmes poires en accompagnement de magrets de canards (les magrets des canards qui ont donné leur foie pour le foie gras de Noël, les braves bêtes !).

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Publié le 16 Mai 2009

Inratables, même en y mettant beaucoup de bonne volonté.

D'abord, les courses :


Pour 2, deux aubergines, les choisir de la même taille et assez longues.
Une bûche de chèvre, on en utilisera les deux tiers.
200 grammes de lardons fumés.
Du thym (du jardin !), du poivre (pas de sel, le fromage et les lardons en apportent suffisamment), de l'huile d'olive et de l'ail.


Laver les aubergines, supprimer le pédoncule puis pratiquer 3 fentes dans le sens de la longueur, sans séparer les morceaux.
Je pense que la photo explique mieux.
La première fente sur le dessus, les deux autres de part et d'autre, à 90°.

Préparer les bâtonnets de fromage : couper la bûche en trois, garder un tiers pour une autre préparation, couper chaque tiers en deux, puis en bâtonnets, je vous fais grâce des fractions.


Fourrer les aubergines, quelques bâtonnets par fente.
Là, la bûche est fraîche, c'est donc assez collant.
Si, ce qui m'arrive assez souvent, vous l'avez oubliée au frigo, elle est un peu plus sèche, c'est plus facile, mais le goût est plus corsé.



Réaliser la même opération avec les lardons, la moitié de la barquette par aubergine, le tiers de la moitié (on doit en être au sixième, donc ?) par fente.


L'ail maintenant., les gousses ont été épluchées, coupées en deux et dégermées, pour que "ça ne reproche pas".
Vous avez remarqué que je n'ai donné aucune indication de quantité.
C'est au goût de chacun, pour moi c'est trop, avec supplément.
A un point tel que j'identifie l'aubergine que je me destine avec une gousse d'ail plantée en pleine chair.
Pour les gens normaux, trois ou quatre demi gousses par fente.



Glisser l'ail dans les fentes.


Poser les aubergines dans un plat à four, les arroser d'un filet d'huile d'olive.


Parsemer de thym.


Poivrer généreusement.


Au four !
Pour le temps, tout dépend de votre four, ici ce sera 1 heure à 180°, départ à froid, puis 20 minutes à 120.
Il faut que les aubergines soient fondantes.
Pendant ce temps-là, un petit conseil de lecture, surtout si comme moi vous raffolez des aubergines : "l'Amour au temps du choléra"  de Gabriel Garcia Marques.
Comme je l'ai déjà lu, pour moi ce sera un épisode d'Urgences, la saison 10 repasse en ce moment chaque soir vers 18heures sur la 2.
En attendant la saison 15.
Et le retour de qui vous savez, mais je m'éloigne de mon sujet.


A table !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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Publié le 21 Avril 2009

Ceci n'est pas de la pub !
Des recettes, des adresses (à vérifier...), .

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Publié le 12 Avril 2009

Pour Pâques, certains peignent leurs oeufs.
J'ai préféré peindre mes patates.
Voici pourquoi, sous forme de recette inratable.

D'abord, choisissez un poulet.
D'habitude, je l'installe sur le tourne-broche, mais celui-ci est si gros que j'ai eu peur que la broche ne casse.
Il cuira donc dans un plat.
Pour l'assaisonner, faîtes comme à votre habitude, perso j'utilise poivre, sel, un filet d'huile d'olive et démarrage à froid.
Et les patates ?
Nous y arrivons.
Lavage, brossage, élimination des extrémités et découpage en rondelles, assez grosses les rondelles, 2 cm d'épaisseur par exemple.
J'ai été surprise de découvrir que la chair de ces patates était blanche, je suis plus habituée aux patates à chair orange mais après dégustation, c'est assez semblable.

Surtout ne pas les éplucher, il ne resterait rien après cuisson.
Installer les rondelles au fond de la lèchefrite.

Préparer la "peinture" :

Mélanger dans un bol du sel, du poivre, du rabelais, de l'ail semoule et de l'huile d'olive, les quantités et proportions sont à adapter selon vos préférences (pour moi, c'est trop d'ail et très peu de sel) et la quantité de patates.
Contrairement aux apparences, nous n'avons pas rapporté la bouteille d'huile d'olive de Pise.
Voici la "pâte" obtenue :

Il ne reste plus qu'à peindre les patates :

La photo n'est pas à l'envers, je suis bien gauchère.
Voici le résultat  :

Au four, sous le poulet.
Pour un poulet de taille normale, placé sur le tourne-broche, j'enfourne les patates en même temps que le poulet.
Mais ce mastodonte avait besoin de davantage de temps pour cuire, alors j'ai attendu qu'il soit à mi-cuisson pour ajouter les patates.

A table !

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Publié le 16 Février 2009

J'avais une boîte de lait Nestlé qui s'ennuyait sur une étagère...non, pas depuis 1878 !

Alors j'ai dégainé ma recette ultra-simple de confiture de lait.
La voici, en quelques images.
Tout d'abord, on pose la boîte dans une casserole qu'on remplit d'eau.

On porte à ébullition.

Avec un couvercle, ça va plus vite.
Voilà, ça bout !

On laisse bouillir à tout petits bouillons pendant trois heures, en rajoutant un peu d'eau de temps en temps histoire que la boîte baigne bien.
Trois heures plus tard, (on n'a pas été obligé de rester au garde à vous devant la cuisinière, on a pu... tricoter un peu pendant de temps là), on sort la boîte de l'eau et on la laisse refroidir.
Quand elle est froide, on l'ouvre.

On transvase la confiture de lait dans un bocal :

Et c'est là que se situe la seule difficulté de la recette : se contenter de ce qui reste dans la boîte pour goûter, oublier le pot de confiture dans le frigo jusqu'à samedi puisque c'est pour le petit déjeûner de samedi que je l'ai réalisé, à déguster tartiné sur des tranches de brioche toastées ou sur des speculoos.
Si vous préférez les trénels (ou si vous ne savez pas ce que c'est), c'est par là :
link

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