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où il apparaît... ce qui n'a pas disparu....

Je vous ai déjà fait part d'un problème avec notre appareil photo : la plupart des photos prises à Pearl Harbour, à Waïkiki et au Polynesian Cultural Center ont disparu.

Je vais malgré tout essayer de vous faire partager notre visite du Polynesian Cultural Center, avec ce qui reste de photos, et toute votre indulgence !

Il s'agit d'un parc d'attractions, à mi chemin entre les musées de plein air scandinaves et le Puy du Fou.

Avec une organisation à l'américaine, je dirais même plus, une organisation mormone, puisque ce sont en effet des Mormons qui ont créé et gèrent le Centre.

Sept villages de Polynésie ont été recréés, pour donner un aperçu de toutes les cultures : Samoa, Aetearoa (en France, on parle de Nouvelle-Zélande), Fidji, Hawaii, Tahiti, Marquises et Tonga.

Ça fait rêver !

Nous avons assisté à des démonstrations de grimpé en haut d'un cocotier, nous avons participé à une leçon de danses hawaïennes, (je regrette particulièrement la perte de ces photos !), j'ai perfectionné ma connaissance des appliqués hawaïens, nous avons goûté à du pain de noix de coco, assisté à un spectacle de danses sur l'eau........... Je ne me souviens plus de tout, il y en avait tant !

Dernière animation avant le dîner : un haka ! C'était beau comme un France All Blacks ! Allez les petits !

Il ne m'en reste que deux photos, l'une, prise de dos :

L'autre, le repos des guerriers :

Ensuite, il y avait un dîner, sous forme de buffet, mais le plus étonnant était la gigantesque salle où il était servi.

On fêtait un anniversaire à la table d'à côté, avec "happy birthday to you" en hawaïen, bien sur.

Les décorations murales racontent l'histoire d'Hawaii, on peut reconnaître le roi Kamehameha 1^er.

Tout ceci est bien kitsch, aussi je craignais le pire pour le spectacle qui terminait la journée.

Eh bien, j'avais tort ! Le spectacle était d'une grande qualité, plein d'inventions de mise en scène, les danseurs-chanteurs-jongleurs de feu ne ménageaient pas leurs efforts, les danseuses ne manquaient pas de grace.

Encore une fois, pas de photos, mais ce n'est pas l'appareil qui est en cause, il est interdit de prendre des photos du spectacle.

Franchement, si vous passez par l'île d'Oahu, n'hésitez pas, le spectacle vaut le détour.

où il apparaît un kézaco historique...

La visite de Pearl Harbor commence en fait par celle du cimetière du Punchbowl National Memorial Cemetery : un cimetière militaire, dans un cratère (d'où le bol à punch) qui domine Honolulu. Il regroupe les victimes de toutes les guerres qui se sont déroulées dans le Pacifique, dont le grand-père du président Obama.

Jolie vue sur Honolulu, dominée par la Diamond Head.

Nous voici sur le site de Pearl Harbor.

En bonne fan des sacs de marin, je ne pouvais pas passer à côté de celui-ci sans l'immortaliser.

Il est en bronze, on sait pourquoi il pèse un âne mort. Je n'en dirais pas autant de mes sacs ! Ils pèsent souvent un âne mort, mais ils ne sont qu'en tissu, quelqu'un peu m'expliquer ?

Voici un sous-marin, l'Uss Bowfin, qui est encore en état car il a été lancé un an après l'attaque de Pearl Harbor.

Différentes pièces d'artillerie et autres engins de guerre sont à la disposition des visiteurs, les enfants s'amusent beaucoup et le manifestent bruyamment ! Ce qui peut paraître paradoxal, vu le grand respect dont les Américains font preuve envers les soldats tombés à la guerre.

L'USS Arizona Memorial est sans conteste la partie la plus émouvante de la visite : le mémorial a été construit sur l'épave du bateau.

1177 militaires reposent encore dans l'épave. Leurs noms sont inscrits sur ce mur de marbre. La plupart n'avait pas 20 ans...

L'émotion est palpable au-dessus de l'épave, des vétérans saluent, des femmes jettent des fleurs.

Pour terminer sur une note plus légère, un nouveau kézaco. 

Quelle photo bizarre ! Qui trouvera comment je l'ai réalisée ?

Indice : la solution est visible sur une des photos de cet article, ayez l'oeil !

Précision du 10 mai, à 9h35 (pour moi, 21h35 pour vous) : Véro et Catherine ne sont pas loin d'avoir trouvé, le nom a même été prononcé, mais l'objet pas encore formellement identifié.

Un dernier petit effort...

Le mot vient encore d'être cité, alors, je dévoile la solution : la photo a en effet été prise à travers un périscope.

Celui qui est à gauche de cette photo.

Je précise que je prends la photo, je n'y figure pas, surtout pas en robe rose !

Bravo à Catherine, à Véro, à Merégée et merci à toutes mes fidèles lectrices.

a très bientôt pour la suite du voyage.

où il n'apparaît pas de moquette....

Après un loooooooooooooooooong voyage, encore plus long que prévu puisqu’à l'escale de San Francisco il a fallu remplacer l'avion prévu, nous voici à Honolulu depuis mercredi.

D'abord, une petite traduction des indices du Kézaco : Zeus et Apollon sont les dobermans qui apparaissent dans la  série Magnum, située à Oahu.

Comme Magnum (Tom Selleck) j'aurais une peur bleue de ces chiens si je venais à les rencontrer.

Laurel et Hardy, dans "les Compagnons de la nouba" chantent "Honolula baby" : regardez ici et essayez de ne pas éclater de rire avec les valises...

Notre appareil photo a sans doute mal supporté le décalage horaire,( pourtant, 12 heures, c'est pratique, pas besoin de dérégler sa montre), il nous a "mangé" une grande partie de nos premiers clichés.

J'en reprendrai donc d'Honolulu (au fait, on prononce Honoloulou !), voici quelques plages de la pointe sud-est de l'île.

Oui, c'est très venteux ! C'est même la Côte au vent !

Les beaufs sont les mêmes partout... la canette à la main et l’œil qui frise...

Quelle végétation exhubérante !

La prochaine fois, je vous emmène visiter Pearl Harbour.

où il apparaît que je suis à nouveau sur le départ...

Puisque le kézaco géographique a été découvert, bravo Francine, voici maintenant un kézaco géographique, ou plutôt touristique.

Je m'envole mercredi aux aurores, trouverez-vous pour quel endroit de la planète ?

Un indice : une île, où je pourrai peut-être rencontrer Zeus et Apollon.

Guettez la moquette !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

où il apparaît que ce voyage est une épanadiplose...

Il a en effet commencé avec des poissons, à Dubaï et se termine ici, parmi les poissons.

A Cairns, nous embarquons pour Green Island, à une petite heure de navigation.

Voici l'île, une idée du paradis... Avec un peu trop de monde ce paradis, mais sur une île déserte, on doit vite s'ennuyer.

Une longue jetée permet de gagner la terre ferme.

Les oiseaux ont colonisé les bouées.

Voici le premier bateau que nous emprunterons. Il a un plancher de verre qui permet d'admirer les poissons et la grande barrière de corail.

Il a un plancher de verre qui permet d'admirer les poissons et la grande barrière de corail.

Une superbe tortue !

Le guide vient de lancer dans l'eau une poignée de nourriture : les poissons grouillent.

Nous ne quittons le bateau à fond de verre que pour monter à bord d'un semi-sous-marin.

Jaune, comme il se doit !

La valse des poissons continue.

Nous retrouvons notre amie la tortue. Ou peut-être sa soeur...

Les images parlent d'elles-mêmes :

Sur terre également, des personnages très colorés et exubérants attirent l'oeil !

Et même dans l'eau.

Il faut reconnaître que se baigner dans la mer de Corail, ça pose un homme !

Elle est annoncée à 28°, mais je suis sur qu'elle est plus chaude.

Le voyage est terminé, merci à tous ceux qui l'auront fait avec nous.

On the road again... as soon as possible !

où il apparaît le début de notre dernière étape...

Nous voici dans le Queensland, sur la côte est de l'Australie.

Ce qui nous étonne le plus ici, c'est la végétation tropicale, trop brièvement aperçue à Darwin, luxuriante, exubérante, ébouriffante, échevelée, en un mot, amazing !

Déjà, dans notre hôtel, on peut se faire une idée.

La piscine n'est pas mal non plus...

Le plus dépaysant reste ce sapin de Noël, quand on est en tongs et en robe d'été.

Palm Cove est surtout renommée pour sa plage, le guide nous annonçait un vrai décor de carte postale, c'est tout à fait ça.

Hélas, cette plage paradisiaque est interdite à la baignade ! nous passerons donc longtemps dans la piscine de l'hôtel.

 Nous passerons donc longtemps dans la piscine de l'hôtel.

Attention, les images qui suivent peuvent être difficiles à supporter par les mauvais temps qui courent.

Nous avons réussi à nous extirper des bains de soleil pour une visite de Kuranda et une promenade aux Barron Falls.

Kuranda est une ancienne ville minière, reconvertie en  village hippy, maintenant un gigantesque piège à touristes qui ne vend guère que du made in China.

L’intérêt est donc ailleurs : les Barron Falls, chutes de la rivière Barron.

Et surtout la promenade suspendue aménagée pour les atteindre.

A mi-hauteur des arbres, elle offre des points de vue inusités sur une végétation invraisemblable, amazing !

Notre appareil photo a malheureusement décidé de nous faire un petit caprice, je ne peux donc pas vous montrer autant de photos que je le souhaite.

Mais je me rattraperai ailleurs, demain !

Nous avons croisé un oiseau remarquable, annoncé à grand renfort de panneaux de signalisation au bord de la route, peut-être un casoar ?

Nous arrivons aux fameuses chutes.

Demain, la toute dernière étape du voyage, under the sea again....

où il apparaît une autre face d'Uluru...

Il nous reste quelques heures avant de prendre l'avion pour de nouvelles aventures, nous décidons de retourner à Uluru, pour une nouvelle promenade : Mala Walk.

Mala est une variété de wallaby.

Uluru arbore de nouvelles couleurs, le ciel est gris, laiteux.

Voici le début de la piste, comme d'habitude tout est parfaitement balisé, organisé, mais tout s'intègre parfaitement dasn le paysage.

Un gros plan sur la roche, spectaculaire !

Nous voici au fond de la gorge.

Encore un lieu d'initiation.

Il est temps de quitter Uluru, l'avion nous attend, in the sky again...

où il apparaît qu'il m'arrive de me prendre pour Yann Arthus-Bertrand...

Après les Monts Olga, voici enfin Uluru.

Attendez-vous à une avalanche de photos, l'endroit est trop beau pour la modération.

Comme le temps n'était pas radieux, nous étions un peu déçus, mais finalement, le ciel pommelé apporte un certain charme aux photos.

En plusieurs endroits, il est demandé de ne pas photographier, par respect envers les Aborigènes, les Premiers Australiens comme nous disait Robert, pour qui ces lieux sont sacrés.

Bien sur, j'ai respecté cette demande, tout en le regrettant, car ce sont souvent des lieux magnifiques.

De même, il est interdit de photographier dans le centre culturel du parc : c'est fort dommage, car non seulement ce centre est admirable par son architecture, mais encore il propose des vitrines, documents, objets et témoignages très intéressants sur la culture Anangu. On peut par exemple y admirer des femmes réalisant leurs fameuses peintures à base de points.

Trève de bavardages, place aux photos !

Oui, j'ai mis mon chapeau d'Indiana Jones, car le soleil tape, mais vous ne me verrez avec que de dos, on a sa fierté !

Quelques peintures rupestres, bien sur, il s'agit d'un lieu d'initiation.

Ici, on peut lire comment Kuniya et Liru, une femme python et un homme serpent, ont créé Uluru.

Il s'agit d'un lieu culturel vivant, Kuniya est encore ici, Son esprit est ici, les peintures sont aujourd'hui encore utilisées par les Anangu.

Comme dans tous les parcs australiens, des bancs sont disposés aux meilleurs endroits, une petite halte est la bienvenue.

Nous voici arrivés au fameux trou d'eau. C'est l'antre de Wanampi, un serpent d'eau tutélaire.

Des anfractuosités de la roche attirent mon attention...

Oui, j'ai bien vu, un cœur presque parfait, me voici marchant sur les brisées de Yann Arthus-Bertrand, qui l'eut cru ?

Et maintenant voici Lungkata Walk, une petite partie du grand tour d'Uluru. Lungkata est un homme lézard à langue bleue.

Nous quittons Uluru pour aujourd'hui, impossible de ne pas prendre une dernière photo...

Une ultime photo...

Je suis à cours de synonymes, mais pas de pellicule !

Un petit souvenir du début de notre voyage ?

Je ne laisserai pas mon chapeau sur place, quelque chose me dit que je vais en avoir encore besoin.

Les Monts Olga sont toujours là, mais encore d'une autre couleur.

Et demain, en route vers Kantju Gorge, on the road again....

où il apparaît qu'il n'y a pas qu'Uluru dans le parc national...

Hier, je vous montrais le mont Attila, que l'on confond souvent avec Uluru.

Aujourd'hui, vous visiterez avec nous les Monts Olga, ou Kata Tjuta, voisins d'Uluru, un massif de 36 dômes de grès rouge.

Au lointain, on aperçoit Uluru, mais une fumée nous intrigue : y aurait-il un feu de brousse ?

D'autres fumées similaires montent dans le paysage.

A l'entrée de Kata Tjuta, nous en connaîtrons l'origine : de la poussière soulevée par des travaux de réfection de la chaussée.

Voici une des entrées dans le massif des monts Olga, Walpa Gorge.

Comme toujours la promenade est bien balisée, bien aménagée, aisée à parcourir, même par de piètres randonneurs. Des ponts et des bancs sont disposés aux meilleurs endroits.

La lumière dessine des motifs à travers les grilles du pont.

Nous voici arrivés au fond de la gorge.

Sur le chemin du retour, le soir commence à tomber.

La lumière a bien changé.

La couleur des montagnes, du rouge, a viré au mauve.

Demain, visite d'Uluru !

On the road again...

Avec une dédicace spéciale à Joline, qui s'y reconnaitra peut-être.

où il apparaît une promenade écourtée...

Nous voici à proximité de Kings Canyon, dans un lodge style ranch.

Il y a beaucoup de chameaux (en fait des dromadaires, mais l'anglais ne fait pas la différence, pour les chameaux comme pour les homards) dans le centre de l'Australie, plus de 200 000 redevenus sauvages dit-on.

Ceux-ci sont là pour les touristes.

Il y a aussi de nombreux oiseaux.

Nous partons pour Kings Canyon, la randonnée courte, celle qui explore le fond du canyon.

Nous cheminons dans un lit de rivière asséchée.

La végétation est étonnante.

Une autre rivière asséchée.

Malheureusement, la promenade s’arrête à mi chemin, nous le découvrons sur place, car il y a quelques temps, un énorme rocher est tombé sur la plate-forme d'observation.

Heureusement, il n'y a pas eu de blessés, mais depuis, on ne peut pas aller plus loin, dommage.

Sur le Red Center Way, nous croisons un dingo.

Bientôt rejoint par un autre.

Ils ne sont pas farouches et se laissent photographier à loisir, j'en profite !

Petit à petit, le paysage change, devient de plus en plus désertique.

Non, ce n'est pas (pas encore !) Uluru (Ayers Rock pour les Français).

C'est le mont Attila, aussi dénommé Mount Conner, que l'on confond souvent avec Uluru.

Uluru, c'est notre prochaine étape, on the road again...