Sac Orphage
Publié le 4 Décembre 2016
où il apparaît que Néphertari, d'un si mauvais jeu de mots....
Entre deux queues de dragon (en effet, j'en ai de nouvelles qui attendent d'être dévoilées, une qui attend de voir ses fils rentrés, une qui est sur mes aiguilles), je reviens sur un sac que je me suis confectionné en septembre.
Comme je ne manque pas vraiment de sacs, j'avais besoin d'un prétexte : il me fallait un sac pour transporter les serviettes de plage et les maillots de bain, l'absence d'un tel sac s'était cruellement fait sentir lors de notre voyage en Croatie.
Il m'a suffi d'une plongée dans mon stock, qui m'a permis de réunir un sac, un canevas, une chute de tissu et quelques joyaux.
Le sac tout d'abord, chiné sur le vide-greniers de Blauzac, sac offert à ses clients par l'eau thermale d'Avène.
Efficace, vaste, pratique mais... bof !
Cela va s'arranger.
Alors ?
J'ai ajouté au sac une poche constituée par un canevas qui pour une fois ne vient pas de Courgenay, Yonne.
Rassurez-vous, le canevas de mon prochain sac viendra bien lui, de Courgenay, Yonne, et certainement celui qui suivra le prochain aussi, mais revenons en à notre pharaon.
J'ai doublé la poche avec une chute de ma énième version de la Parisienne : celle-ci.
Le canevas, déniché sur un vide-greniers, mais pas par moi, j'ai des rabatteurs !, m'a été offert, merci Marguerite.
Je me suis contentée de le broder, rebroder, surbroder de diamants, rubis, émeraudes, topazes, lapis-lazulis...
Sans oublier les yeux bleus, comme les cygnes,les homards....
Comme je suis bien sur incapable d'attendre l'été prochain pour utiliser ce sac Orphage (même pas honte !) je l'exhibe dors et déjà en tant que sac à tricot, il remplit parfaitement bien son office.
A très bientôt pour un nouveau sac, une nouvelle queue de dragon, une nouvelle robe la Parisienne, je ne sais pas encore...