Publié le 23 Mars 2017

où il apparaît que mon bomber Jean a trouvé son petit haut...

Je vous l'avais annoncé, ici, je voulais associer un top et mon bomber.

Ce fut vite fait, la chute de tissu était encore sur ma table et le patron du petit haut vintage de Modes & Travaux à portée de main.

 

Petit haut vintage et bomber, la tenue rêvée pour le printemps

Le petit haut vintage, vous le connaissez déjà, c'est lui, en direct de 1965.

Petit haut vintage et bomber, la tenue rêvée pour le printemps

Je l'ai d'autant plus vite réalisé que j'ai supprimé le zip prévu dans la couture de côté, il n'y en a vraiment pas besoin.

Petit haut vintage et bomber, la tenue rêvée pour le printemps

Comme j'avais suffisamment de tissu, je n'ai pas eu besoin de tricher pour le dos, au contraire de la première version. Le dos est donc coupé en un seul morceau et j'ai confectionné la goutte d'eau avec une parementure, comme prévu, c'est bien expliqué et rapide à réussir.

On ne le voit pas bien mais le bouton ancien que j'ai déniché dans mon stock brille un peu, comme les motifs du boubou, son motif géométrique répond aux motifs du boubou, j'ai donc tout motif d'être ravie !

Petit haut vintage et bomber, la tenue rêvée pour le printemps

Et regardez comme le petit haut vintage et le bomber s'accordent bien !

Je n'ai toujours pas trouvé ma petite robe de l'été, mais je crois que je tiens là ma tenue de printemps.

Petit haut vintage et bomber, la tenue rêvée pour le printemps
Petit haut vintage et bomber, la tenue rêvée pour le printemps

Quelqu'un prévient le printemps qu'il n'a plus qu'à arriver ?

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Rédigé par Françoise/pourquoitantdelaine

Publié dans #Couture, #la Maison Victor

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Publié le 16 Mars 2017

Où il apparaît que j'en ai rêvé, Victor l'a fait...

Voilà plusieurs mois que je rêvais d'un bomber en boubou.

En octobre, j'ai facilement trouvé le coupon de mes rêves aux Merveilles de Saint-Pierre, magasin qui s'appelait anciennement la Petite Berthe, il y en a peut-être à qui ça rappellera quelque chose.

Pour le patron, ce fut plus compliqué, parce que le bomber dont je rêvais avait des manches raglan; un rêve, ça ne s'explique pas...

Imaginez ma joie quand je découvris le fameux patron dans le dernier numéro de la Maison Victor, sous la forme du blouson Jean.

Non, pas un blouson en "djinn", un blouson pour les gens...

Jean, mon bomber

Aucun problème pour réaliser ce bomber, bien plus simple que Rocha puisqu'il n'est pas doublé.

L'encolure est simplement bordée d'un biais, que j'ai coupé dans le même tissu.

Le zip est cousu sur une sous-patte, mais là aussi, aucune difficulté.

Jean, mon bomber

Les poches en biais n'ont plus de secret pour moi, grâce aux explications détaillées.

Jean, mon bomber

Les poignets et le bas sont élastiqués.

Jean, mon bomber

C'est assez difficile à rendre en photos, mais les motifs turquoise et rouille sont légèrement irisés, j'adore ce tissu !

Il m'en reste un coupon, assez pour un petit haut, histoire de me la jouer twin-set décalé.

Jean, mon bomber

J'adore ce bomber, j'envisage même une nouvelle version dans un tissu un peu plus épais, une version doublée, avec un col en bord côtes, un mix entre Jean et Rocha.

J'ai le tissu principal, je pars à la recherche de la doublure (mais pas en soie !) et du bord côtes, je vous tiens au courant...

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Rédigé par Françoise/pourquoitantdelaine

Publié dans #Couture, #la Maison Victor

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Publié le 13 Mars 2017

où il apparaît que 2017 sera l'année des vestes...

Et surtout, n'y voyez aucun rapport à l'actualité électorale !

Après Amber, voici Rocha, et ce n'est qu'un début.

Rocha, ma veste...

Toujours à partir d'un patron de la Maison Victor, décidément mon fidèle complice.

Ce modèle est paru dans le numéro de septembre-octobre 2016. Théoriquement, ce n'était pas celui qui apparaissait à cette place dans ma to do list, mais, un jour où j'étais entrée chez Bastide, mon dealer de tissus préféré, pour acheter un zip, et juste un zip, promis juré, j'ai été prise en otage !

C'est une mésaventure qui m'arrive presque à chaque fois que je me rends dans ce magasin : impossible d'en ressortir sans m'offrir un petit coupon au poids, un métrage d'une soierie Kenzo, un velours si doux, un lainage si chaud...

Dernièrement j'y ai trouvé neuf pelotes de  duvet de chameau, exactement ce qu'il me fallait pour le tricot dont je rêvais, mais je m'égare, ceci est un autre ouvrage. 

Ce jour là, donc, les coupons était à moitié prix et... non, je n'ai pas la berlue ! Il s'agit bien du tissu du modèle ! A la couleur près, d'accord, mais un peu de marron glacé me changera du noir, du bleu, du gris qui sont l'ordinaire de ma palette. Et le fameux duvet de chameau est du même marron glacé, nous voici donc en train de franchir à grands pas la frontière entre le caprice et le raisonnable, non ?

Un gros plan sur ce tissu, pour mieux participer à mon enthousiasme.

Rocha, ma veste...

Gros plan qui permet aussi d'admirer la poche.

Une première pour moi, ces poches en biais, j'appréhendais un peu mais je m'en suis bien sortie.

Rocha, ma veste...

Rocha est fermée par un zip, elle a des découpes princesse au devant et au dos, et un col en bord côtes.

Rocha, ma veste...

Comme je ne trouvais pas le bord côtes de mes rêves à un prix raisonnable, j'ai chiné aux puces d'Alès un sweat shirt à 20 centimes, j'ai décousu sa bordure et j'y ai taillé un col. Encore une première pour moi, mais puisque c'est réussi et somme toute assez simple à réaliser, je recommencerai.

Rocha, ma veste...

Ce qui a été beaucoup moins simple à réaliser, c'est la doublure de la veste.

Mais le patron ou ses explications ne sont pas en cause. C'est mon choix de tissu, de la soie lavée, qui est le responsable de ces difficultés. Mais cette soie était si douce, ses couleurs s'assortissaient si bien avec le tissu matelassé, finalement, je ne regrette pas ce choix.

J'ai coupé cette fameuse doublure dans un grand coupon de soie lavée trouvé chez Emmaüs, il m'en reste assez pour un petit haut sans manches, plus qu'à trouver le patron...

Rocha, ma veste...

J'ai simplement ourlé le bas des manches, le modèle prévoyait un poignet resserré par un élastique, mais je n'en avais pas envie, en tous cas pour cette veste (attention, teasing !).

Rocha, ma veste...

J'ai réalisé cette veste en taille 40, parce que je voulais pouvoir la porter sur un pull (et revoilà le fameux duvet de chameau... Il s'incruste dans cet article, au risque de me faire perdre la face si je ne viens pas à bout de ce tricot qui me résiste, entre la traduction de l'anglais et l'emploi obligatoire d'une aiguille circulaire).

Le 38 aurait peut-être été suffisant.

Rocha, ma veste...

Pour mon ouvrage suivant, je n'ai pas eu ce problème de choix entre deux tailles, le modèle est en 38/40, quel confort ! A suivre, aussi vite que possible...

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Rédigé par Françoise/pourquoitantdelaine

Publié dans #Couture, #la Maison Victor

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