Mort d'un orfèvre
Publié le 28 Août 2012
Ce polar avait tout pour me plaire, puisqu'il se passe à Florence.
Mais non, comme sa photo, un peu flou...
Le héros n'est même pas dépressif, n'a pas (trop) de problèmes avec ses enfants (restés avec sa femme en Sicile, c'est bien pratique), ne mange que des cochonneries de sandwichs, mais pas avec le talent d'un Wallander, mon policier italien préféré reste donc le commissaire Brunetti, qu'on se le dise !