Grenailles
Publié le 20 Janvier 2010
Pas de tricot à montrer en ce moment, entre les projets reportés par manque de matière première et l'éloignement momentané du stock (qui a dit "tant mieux, pendant ce temps là, il ne grossit pas" ?).
Pas de trouvailles aux puces à exhiber fièrement, je n'ai pas traîné mes guêtres sur un vide-greniers depuis l'année dernière et le prochain est encore loin, plaignez moi !
Une petite recette en attendant, ça vous dit ?
Si j'étais snob, je vous parlerais de rattes, mais je me contente de grenailles.
Encore que... quand je trouve des vitelottes, je craque, et pourtant je ne suis pas une acharnée de la couleur, vous l'aurez remarqué.
Bon, commençons par la liste des courses.
On oublie le potiron (qui se transformera bientôt en carrosse ?) et le café qui squattent sur la photo, on se concentre sur les grenailles, les olives noires à la grecque et le poireau.
Il faut aussi de l'huile d'olive, du vin blanc, de l'ail semoule et du poivre, mais ça, pas besoin de faire les courses, ça vit dans le placard.
Il m'est difficile de vous donner des quantités précises : tout dépend de la taille des grenailles, l'important est qu'elles aient à peu près le même volume pour cuire à la même vitesse.
A titre indicatif, je compte une dizaine de grenailles de taille moyenne par personne, un petit poireau pour deux, une poignée d'olives noires.
Pour l'huile et le vin blanc, il en faut suffisamment pour que les grenailles soient à moitié immergées.
On lave le poireau et on le taille en fine julienne, ou l'inverse, on taille et on lave.
On le fait fondre doucement.
Pendant ce temps là, on lave les grenailles, on les pose dans une sauteuse, on les arrose de moitié huile d'olive, moitié vin blanc, on couvre, on fait cuire pas trop vite.
Pendant que les grenailles cuisent, on dénoyaute les olives et on les coupe en petits morceaux.
On vérifie la cuisson des grenailles en les piquant avec un petit couteau.
On rassemble alors dans la sauteuse la fondue de poireau, les olives, on poivre (pas besoin de sel, les olives en apportent bien assez) et on aille, aïe, aïe, aïe !
Les habituées connaissent mon manque de modération en ce domaine.
Un petit coup de cuillère en bois pour mélanger, un dernier petit coup sur le feu pour réchauffer, et on sert.
Et... on ne fait pas comme moi qui ai oublié la photo de l'assiette dressée !
Pas de trouvailles aux puces à exhiber fièrement, je n'ai pas traîné mes guêtres sur un vide-greniers depuis l'année dernière et le prochain est encore loin, plaignez moi !
Une petite recette en attendant, ça vous dit ?
Si j'étais snob, je vous parlerais de rattes, mais je me contente de grenailles.
Encore que... quand je trouve des vitelottes, je craque, et pourtant je ne suis pas une acharnée de la couleur, vous l'aurez remarqué.
Bon, commençons par la liste des courses.
On oublie le potiron (qui se transformera bientôt en carrosse ?) et le café qui squattent sur la photo, on se concentre sur les grenailles, les olives noires à la grecque et le poireau.
Il faut aussi de l'huile d'olive, du vin blanc, de l'ail semoule et du poivre, mais ça, pas besoin de faire les courses, ça vit dans le placard.
Il m'est difficile de vous donner des quantités précises : tout dépend de la taille des grenailles, l'important est qu'elles aient à peu près le même volume pour cuire à la même vitesse.
A titre indicatif, je compte une dizaine de grenailles de taille moyenne par personne, un petit poireau pour deux, une poignée d'olives noires.
Pour l'huile et le vin blanc, il en faut suffisamment pour que les grenailles soient à moitié immergées.
On lave le poireau et on le taille en fine julienne, ou l'inverse, on taille et on lave.
On le fait fondre doucement.
Pendant ce temps là, on lave les grenailles, on les pose dans une sauteuse, on les arrose de moitié huile d'olive, moitié vin blanc, on couvre, on fait cuire pas trop vite.
Pendant que les grenailles cuisent, on dénoyaute les olives et on les coupe en petits morceaux.
On vérifie la cuisson des grenailles en les piquant avec un petit couteau.
On rassemble alors dans la sauteuse la fondue de poireau, les olives, on poivre (pas besoin de sel, les olives en apportent bien assez) et on aille, aïe, aïe, aïe !
Les habituées connaissent mon manque de modération en ce domaine.
Un petit coup de cuillère en bois pour mélanger, un dernier petit coup sur le feu pour réchauffer, et on sert.
Et... on ne fait pas comme moi qui ai oublié la photo de l'assiette dressée !