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où il apparaît un dimanche au bord de l'eau...

Mais sans robe blanche ni knickerbocker à carreaux.

Au départ de Sao Vicente, cap à l'ouest, en suivant la côte nord de l'île et en cherchant à éviter les tunnels.

Premier arrêt, Miradouro de Véu da Noiva, point de vue du sommet d'une falaise, panoramas sur la côte et des cascades se déversant dans l'océan.

Vers Praia da Laje, plage de Seixal renommée pour son sable noir.

Arrivée à Porto Moniz, célèbre pour ses piscines naturelles.

Des courageux se baignent, j'ai testée la température de l'eau, brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr ! 

Retour à Sao Vicente, visite du village ancien, développé autour de son église, mais loin de la mer, pour se protéger des attaques  des pirates.

Nous terminons la journée comme il se doit.

Demain sera notre dernier jour de promenade sur l'île, déjà.....

où il apparaît notre seconde étape....

Le réseau routier de Madère peut se résumer à trois routes : une longeant la côte sud de l'île, une longeant la côte nord et une route centrale reliant les deux routes côtières.

Nous quittons Funchal, sur la côte sud, en direction de Sao Vicente, sur la côte nord, et nous traversons l'île par cette roue centrale.

Les distances sont très courtes.

Mais les voyages sont longs, surtout si on prend soin, comme nous tentons de le faire, d'éviter les routes nouvelles empruntant des tunnels, au profit des routes anciennes qui offrent bien sur les plus beaux paysages.

L'agriculture s'est installée partout dans l'île, grâce à des terrasses (restanques ?) montant à l'assaut des pics.

Dès que la vallée s'élargit un peu, un village s'est développé.

La côte nord apparaît.

Nous voici à Sao Vicente, nous trouvons vite nos marques sur une terrasse en bord de plage, une rareté ici.

Une plage de galets, parsemée de cairns, nous en avons déjà vus dans l'est, nous en verrons d'autres, traces éphémères de touristes certainement.

Un petit pont permet de franchir la rivière pour gagner l'est de la côte.

Jolie vue depuis notre hôtel.

Bientôt la suite....

où il apparaît notre dernière journée à partir de Funchal...

Après une excursion vers l'ouest de la côte sud de Madère, nous partons vers l'est.

Première étape, un belvédère au-dessus de la plage de Garajau.

Point de vue sur Funchal.

Une des rares plages de l'île, accessible par un téléphérique.

Belle promesse !

Mais l'attraction principale est au sommet de la falaise :

En plein ciel, face à l'océan.

Prochaine étape, le Corcovado ? Il suffit de plonger, puis de nager, c'est presque  tout droit, cap sud ouest....

Oh ! un copy cat ....

Nous partons vers la pointe de Sao Lourenço, extrémité orientale de Madère, sous l'influence des vents sahariens, très différente du reste de l'île.

Des courageux partent à pied....

Quelques photos prises en route :

La promenade se termine bien sur en terrasse, avec un petit visiteur.

où il apparaît une falaise qui se hausse du col....

Pour commencer la journée, un petit tour au marché de Funchal.

Très peu de photos car beaucoup trop de monde, je n'ose imaginer la foule en plein été...

Et beaucoup de marchands de spécialités locales made in China.

Quelques beaux étals de fruits cependant.

Nous voici au cap Girao, falaise auto-proclamée "la plus haute d'Europe".

Certes, nous nous trouvons au Portugal, donc dans l'Union européenne, en tous cas sur le plan administratif.

Mais géographiquement, peut-on parler d'Europe ? 

Et quand bien même, une falaise des îles Lofoten serait plus haute...

Alors, va pour la falaise la plus haute de Madère.

Une plateforme de verre permet de voir le vide, la mer 580 mètres plus bas.

Comme j'apprécie très moyennement le vide sous mes pieds, je suis restée sur la terre ferme, ce qui m'a permis de photographier aussi quelques touristes :  j'adore les voir prendre des pauses saugrenues, sauter, se contorsionner pour paraître à leur avantage.

Là, j'ai même surpris la question posée au photographe par cette femme assise au milieu du belvédère : "Suis-je assez sexy ?".

Non, la photo n'est pas floue, elle est prise à la verticale, au travers du verre.

Peu après Cabo Girao, nous arrivons à Jardim do Mar, présenté comme le plus joli village de Madère.

C'est en tous cas le plus joli de ceux que nous avons visités.

Un des rares au niveau de la mer.

Les noms des ruelles sont faciles à trouver !

Des murs de lave, une végétation exubérante :

Et après une promenade labyrinthique, une halte bienvenue. 

Demain sera un autre jour, une autre destination, cap à l'est cette fois.

où il apparaît le retour de la moquette....

À preuve :

Franchement, si ce n'était  pour perpétuer une tradition personnelle, je n'aurais eu aucune raison de publier cette photo de moquette qui est juste moche, même pas spectaculaire ou kitsch comme d'autres vues ici même.

Le décor étant planté, passons à des photos prises en extérieur, bien plus fleuries.

Oui, en extérieur, ici, c'est le passage pour piétons qui permet de rejoindre plus rapidement, depuis notre hôtel, l'Estrada Monumental qui longe la mer, à Funchal.

La géographie particulière de l'île s'impose : la montagne est partout, le plus souvent à pic dans la mer, il n'y a quasiment pas de plages, en tous cas pas de plages naturelles, du sable a même été importé du Maroc pour en aménager une.

La montagne est partout, disè-je, les maisons aussi, les téléphériques, et... les tunnels routiers.

Un de nos jeux favoris au cours de ce voyage aura été d'éviter ces tunnels. Certes, ils sont bien pratiques, ils permettent d'éviter des kilomètres de route qui montent, qui tournent, qui descendent, qui tournent, qui remontent, retournent.... au fond de canyons, pour relier différents quartiers de Funchal ou différents villages ou points de vue.

C'est pratique la nuit, pour trouver facilement son hôtel depuis l'aéroport, mais pour admirer le paysage, rien ne vaut l'ancienne route, quand elle existe encore.

Notre première excursion nous mène à Monte, village perché au dessus de Funchal, célèbre pour son église et pour avoir accueilli Sissi, impératrice d'Autriche, en 1860.

Première excursion et première halte rafraichissante.

Autre attraction locale, ou piège à touristes, les traineaux d'osier, carros de cesto, qui permettent de regagner au plus vite Funchal, de 600 mètres d'altitude au niveau de la mer (ou presque) en ligne droite, ça va vite !

Nous nous contenterons de les suivre en voiture.

Les traineaux s'arrêtent à mi pente, nous continuons la descente, ce qui me permet de repérer le premier araucaria du voyage.

À très bientôt pour une promenade au marché de Funchal puis sur la plus haute falaise d'Europe.

où il apparaît que je voyage quand même....

Les circonstances étant ce qu'elles sont, nous n'avons aucun projet de voyage avant une incertaine lurette.

Pour continuer à rêver d'horizons lointains, bordés de palmiers, d'hibiscus ou de jacarandas, je fais voyager les poupées.

Les voici donc aux Antilles.

Pour Sasha, je me suis inspirée d'un patron de Modes & Travaux de juin 2003, prévu pour la poupée Emilie.

En réalité, seul le jupon en broderie anglaise (chute d'un top que je me suis cousu il y a bien longtemps) est conforme au modèle.

Pour la jupe, je l'ai coupée selon le patron mais je ne l'ai pas fermée, et Sasha la porte devant derrière.

Quant au fichu, par économie, je n'ai taillé qu'un triangle rectangle au lieu du carré prévu.

Le top est réalisé selon mon patron de top printanier, offert ici, les explications pour le réussir sont là.

Sasha est une petite coquette qui profite d'un moment que je consacre à son frère pour porter ce top "à la Bardot" !

Florentin porte une ample chemisette en madras, encore un modèle prévu pour Emilie, mais je n'ai pas noté sa date de publication (une tenue de plage dans un vestiaire estival...).

J'ai ajouté à l'arrache un ruban coupé dans une chute à son panama.

J'ai réalisé il y a bien longtemps les autres tenues exotiques qui accompagnaient ce costume d'Antillaise.

Il y a donc bien longtemps que je rêvais de compléter le vestiaire de Sasha, mais ce n'est que samedi dernier que j'ai trouvé ce coupon de madras dans un tas de fripes aux puces de Saint-Christol-lez-Alès. C'était en fait un morceau de vêtement, certainement une robe.

Allez, encore une photo de Sasha et Florentin aux Antilles, je les trouve trop beaux !

Et dès que possible, un petit tour du monde avec les poupées....

où il apparaît une invitation au voyage et un anniversaire....

Encore une Ariane ?

Eh oui, mais comment résister à ce superbe jacquard des tissus Bastide, toujours au rayon des rouleaux à 2 € ? Surtout qu'il suffit d'un mètre pour cette robe. Et que le patron (la Maison Victor, juillet/août 2017) n'est jamais loin de ma table de travail....

Encore un plus gros plan sur le tissu, il est si beau....

J'avais dit un  ?

Me voici comme par magie de retour sur la plage de Saint-Pierre, à La Réunion, déjà en Ariane....

Ce qui ne s'est pas déjà produit, c'est le treizième anniversaire de mon blog, demain 20 mai.

Longue vie encore à mon blog, mille mercis à toutes celles qui m'accompagnent fidèlement.

Et bientôt le 1500^ème article.... (non, pas la 1500^ème Ariane, quoique....).

où il n'apparaît pas tout ce qui était prévu...

Pour terminer notre voyage en beauté, un survol de l'île en hélicoptère était prévu.

Hélas, les conditions météorologiques ne nous ont permis qu'un survol partiel, il a fallu renoncer au Piton de la Fournaise et à tout le sud de l'île.

Petit breefing avant le décollage.

Nous volerons chacun dans notre hélico, cette séparation momentanée nous a permis d'avoir chacun une place à l'avant, à côté du pilote, celle d'où l'on voit le mieux...

Nous décollons des Hauts de Saint-Gilles, cap sur le cirque de Mafate et le piton des Neiges.

Nous ne verrons pas les 3070 mètres du piton des Neiges, le sommet est dans les nuages.

Les trois Salazes.

Aucune route ne permet d'atteindre le cirque, qui est pourtant habité : plus de 800 habitants !

Seules voies d'accès, des sentiers ou l'hélicoptère. Les enfants, ici, ne dessinent pas des voitures mais des hélicos...

De l'autre côté du rempart, le cirque de Cilaos.

Nous quittons Cilaos pour retourner sur la côte.

Belle vue sur le lagon.

Je reconnais notre hôtel.

La mer est fantastique vue d'ici.

Notre voyage se termine, dans un hôtel superbe, où nous "bullerons" trois jours, entre la terrasse, la piscine et la plage.

Une des très rares plages baignables de la Réunion s'offre à nous passée la petite porte. L'eau est claire, chaude, le sable doux, un grand souvenir.

La terrasse privée de notre chambre, no comment....

Merci de nous avoir suivis tout au long de ce voyage, je ne manquerai pas de vous inviter pour le prochain.

On the road again....

Où il apparaît un joyeux mélange...

Nous avons rencontré beaucoup de très belles plages, tout au long de notre voyage, mais elles sont malheureusement interdites à la baignade, et pour une bonne raison :

Des arbres spectaculaires bordent ces plages.

On marche littéralement sur les fleurs.

Alex a bien de la chance !

Après toutes ces plages, nous visitons un village d'artisans, installé dans une ancienne usine.

Je crois me retrouver  Rue de la sardine....

Pour finir, un petit tour au marché de Saint Paul, le plus renommé de l'île, à la recherche de feuilles de faham pour arranger du rhum.

Halte Dodo dans une maison "qui n'accepte pas l'échec" !

Et demain, pour la dernière sortie, nous prendrons de la hauteur. On the road again...

où il apparaît le deuxième des trois cirques de la Réunion....

Toujours à partir de Saint-Pierre, nous voici en route vers le cirque de Cilaos.

La route est renommée pour ses virages : au moins 400 pour monter, et bien sur autant pour redescendre.

Route sinueuse, donc, entre ravins et remparts vertigineux.

Nous avons entrepris la montée derrière un convoi exceptionnel, qui a du nous laisser le passage au premier tunnel.

Arrivés enfin à Cilaos, célèbre pour ses vins, ses lentilles et sa dentelle, nous remarquons les sculptures de cette fontaine.

J'ai découvert les jacarandas à Sydney, ceux de Cilaos me plaisent tout autant.

Fresque rafraîchissante.... Qui a dit que les dodos avaient disparu ?

Voici Notre-Dame des Neiges.

Vue générale de Cilaos depuis la Roche merveilleuse.

Assez admiré, il faut redescendre, encore 400 virages...

De retour au niveau de la mer, à Saint-Pierre, nous voici à la Pointe du Diable.

Falaises volcaniques, plages de sable noir.

Dernière halte de la journée au marché de Saint-Pierre.

Un vaste parapluie abrite des étals colorés.

Malheureusement, que des babioles venues de Madagascar, pas le moindre petit coupon.

Demain sera un autre jour, vers une autre destination, on the road again...